dimanche 26 décembre 2010

Superflu relatif

Qu’en est-il du superflu relatif?

C’est tout ce qu’il y a; le superflu relatif.

Comble du comble, je l’ai souligné l’autre soir, question de provoquer un remaniement Une fois le manque de profondeur souligné la dérision suivi.

Dérision et engagement philosophique sur l’utilité du manque de profondeur dans l’établissement de liens familiaux profonds.

D’ailleurs, ce n’est qu’à ce niveau que les liens se tissent dans le cas d’une famille où la communication est refoulée en arrière plan, bien derrière l’image devant être préservée et les liens se situent dans le domaine du non communiqué.

Une personne rejetant fondamentalement ce modèle se trouve donc en relation de choc constant face à cette situation.

Dans la dérision, je me laisse aller, dans des rires bien jaunes…

dimanche 12 décembre 2010

Dans mes souvenirs

Le temps des souvenirs fut,
Le temps des souvenirs fuit,
Le temps des souvenirs frais,
Le temps des souvenirs faits,
Le temps des souvenirs est.

Se souvenir de ses souvenirs

Bizarrement, je me rapproche et je m’éloigne de ceux-ci et contrairement aux croyances populaires, le temps ne les efface pas. Ils sont indépendants du temps et uniquement fonction de l’espace.

Des choses dites, des choses vues, des choses ressenties, des choses vécues les ravivent, ces souvenirs; peu importe où ils s’étaient enfouis et l’époque à laquelle ils furent vécus.

Ils réapparaissent ainsi, en toute simplicité, sans crier gare.

Les souvenirs ne se fadent donc pas avec le temps